Sainte
PAULINE
Bethléem en
Palestine - Vers 400
Texte extrait des “Petits Bollandistes”-
Mgr Paul Guérin - T. II, p. 599 - Paris 1885
A Bethléem, en Palestine, sainte Pauline ou Paule la Jeune.
Son père était fils de cette grande sainte Paule
surnommée l’ancienne, louée par saint Jérôme,
et frère de sainte Eustochie, non moins exaltée par ce grand
docteur; sa mère Laeta était aussi de l’une des
premières familles de Rome : ces deux nobles époux
gémissaient de n’avoir pas d’enfants : par leurs
prières, ils obtinrent du ciel celle qui devait être sainte
Pauline.
Quand elle fut grande, on l’envoya à Bethléem
où vivait dans la plus haute sainteté, à la tête
d’une troupe de vierges, sa tante Eustochie.
La vénérable Paule était morte quand la jeune
Pauline arriva : elle n’avait pas eu la consolation de presser contre son
sein maternel la fille de son fils tant regretté. A l’école
de sa vertueuse tante, la petite-fille des consuls devint une des gloires de
l’Eglise.
Après la mort de la vierge Eustochie, Pauline continua les
traditions de son illustre famille, et embauma l’Orient du parfum suave
de ses vertus. 600.
Sainte
PAULE de CONSTANTINOPLE
Vierge et martyre
vers 273
Textes extrait des
“Petits Bollandistes”- Mgr Paul Guérin - T. VI, p. 406 -
Paris 1885
Arrêtée alors qu’elle recueillait le sang des martyrs, elle fut battue de verges et jetée au feu. Mais en ayant été délivrée, elle fut décapitée.